Entre fantasme et réalité, l'intelligence artificielle au service de la créativité.

LEXA GALBI est un studio de design textile et intelligence artificielle, un seuil entre deux mondes :
celui de l’intuition, et celui d’algorithmes capables, en quelques instants, d’ouvrir des milliers de possibles.

 

Ici, l’IA n’est pas une usine à images anonymes :
elle agit comme un amplificateur silencieux, une machine à variations qui se plie aux exigences de notre époque.

 

Tourner le dos à cette alliance, aujourd’hui, ce serait accepter de voir le champ des formes se rétrécir, et laisser d’autres écrire seuls l’avenir de ces outils et, par ricochet, une part du nôtre.

 

Ne pas utiliser l’IA : un choix qui coûte cher

Refuser l’IA, ce n’est pas “rester pur”.
C’est accepter :

 

  • des délais plus longs,
  • moins de pistes créatives,
  • moins de temps pour le vrai travail : la direction artistique, la cohérence de collection, le dialogue avec la marque.

 

Dans un contexte où les maisons demandent à la fois vitesse, singularité et profondeur, ignorer ces outils, c’est se mettre volontairement à un étage en dessous.

Comment design textile et intelligence artificielle se marient

Au studio, tout commence par une intention :

 

  • un dessin,
  • un fragment de réel 
  • ou une image intérieure, précise et difficile à décrire.

 

À partir de là :

 

  1. L’IA sert à explorer
    Elle génère des matières, des structures, des ambiances complexes à partir de visuels imaginés ou inspirés du réel.
    Des rendus qui seraient extrêmement longs, parfois presque impossibles à obtenir à la main dans les mêmes délais.
  2. L’humain décide
    Le studio trie, filtre, assemble et corrige.
    On garde ce qui vibre, on écarte ce qui sonne creux.
    L’IA propose, LEXA GALBI choisit.
  3. Le motif devient textile
    Les visuels sont retravaillés, mis au raccord, colorés, affinés.
    On équilibre les masses, on laisse des respirations, on prépare des fichiers prêts à imprimer, en lien avec les imprimeurs.

 

Le résultat final n’est pas une “image d’IA” :
c’est un motif textile construit, une collaboration.

Ce que l’IA permet concrètement au studio

Dans ce travail hybride, l’IA est utile parce qu’elle :

 

  • décèle des tendances, analyse des données en temps réél.
  • accélère l’exploration d’ambiances riches (minéral, liquide, flou, lumière),
  • aide à générer des variations cohérentes (déclinaisons couleur, densité, échelle),
  • libère du temps pour ce que la machine ne sait pas faire :
    sentir, arbitrer, raconter, relier.

 

Ce n’est pas une baguette magique.
C’est un accélérateur de matière brute qui permet au studio de consacrer plus d’énergie à la qualité du regard et du geste.

Une grande opportunité pour les designers et artistes

Pour les créatifs, l’IA est souvent présentée comme une menace.
LEXA GALBI la voit comme un élargissement du terrain de jeu.

  • Moins de temps passé à répéter les mêmes opérations.
  • Plus d’espace pour affirmer un style, un univers, une voix.
  • Accès à des rendus et des textures qui exigeraient, sinon, plusieurs métiers en un (photo, 3D, peinture numérique…).

L’enjeu n’est pas de “laisser faire la machine”.
L’enjeu est de reprendre la main sur la manière dont ces outils seront utilisés :
comme un rouleau compresseur qui uniformise le goût,
ou comme un amplificateur au service de sensibilités singulières.

 

LEXA GALBI, studio engagé entre design textile et intelligence artificielle est un laboratoire de création décidé à relever les défis de demain. 

POUR DECOUVRIR LA COLLECTION DE MOTIFS —–

design textile et intelligence artificielle